Ma traduction de l'article de Daniel Pipes, publié le 22 juillet 2013:
Pas plus tard qu'en 2012, les islamistes semblaient pouvoir coopérer en
surmontant leurs nombreuses dissensions internes – religieuses (sunnites
et chiites), politiques (monarchistes et républicains), tactiques
(politiques et violentes), ou encore sur l'attitude face à la modernité
(salafistes et Frères musulmans). En Tunisie,
par exemple, les salafistes et les Frères musulmans (FM) ont trouvé un
terrain d'entente. Les différences entre tous ces groupes étaient
réelles mais secondaires car, comme je le disais alors, « tous les
islamistes poussent dans la même direction, vers l'application pleine et
sévère de la loi islamique (la charia) ». (Lire la suite)
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